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Les vols d'initiations pour les collègiens se poursuivent et ce mois de Mars débute avec les élèves du collège Camille Claudel de Civray sous l'oeil avisé des instructeurs Jean-Jacques Béalu et Alain Hugault.
Voici les commentaires recueillis par Catherine après les vols:
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Samedi 2 mars :
Hugo :
J’ai eu un grand sentiment de vide et bien
qu’habituellement, sujet au vertige, je n’ai rien ressenti de tel. Quand on
pilote, on a une grande dose d’adrénaline.
Pierre :
C’était bien, ça tourne vite. Quand on descend, ça fait des
sensations dans le ventre.
Alexis :
J’ai adoré piloter l’avion. Il y avait de beaux paysages.
Quand on montait et quand on descendait ça faisait des sensations au ventre. A
refaire !
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Samedi 9 mars
Etienne :
A partir de quand l’avion décolle, c’est impressionnant.
J’ai viré en agissant sur le manche, on pouvait accélérer la vitesse en
poussant la manette des gaz.
La vitesse pouvait aller jusqu’à 200 km /h.
J’ai fait l’atterrissage, moteur arrêté, en utilisant
uniquement la surface de l’avion pour planer.
Cela m’a donné envie de refaire de l’avion.
Raphaël :
Au début, ça fait un peu peur parce que je craignais de me
tromper dans les gestes mais une fois dans les airs, on reprend confiance. Puis
ça devient plus instructif, on apprend plus de choses. Prendre les commandes,
c’est se faire confiance et on peut piloter seul, quand l’instructeur lâche les
commandes.
Je pense être pilote de chasse plus tard.
Pierre :
Au départ, j’étais surpris par le décollage. J’ai bien aimé
survoler Poitiers et l’instructeur m’a laissé totalement les commandes. J’ai
bien aimé quand il a parlé à la radio « arrivée de l’UY » , nous
nous sommes posés sur la piste 21. A l’intérieur de l’avion, on n’avait pas
l’impression d’être à 200 km/h.
Tout cela m’a impressionné et m’a encore plus fait apprécier
l’avion en lui même.
Clément :
J’ai beaucoup aimé l’avion. Je n’avais pas l’appréciation de
la distance, on a mis 10 minutes pour aller à Poitiers. La vitesse n’était pas
représentée comme dans une voiture.
Les 30 minutes de pilotage sont passées très vite.
J’ai beaucoup aimé la sensation du décrochage. En tout j’ai
bien aimé.
Théo :
Ce qui m’a impressionné, c’est de voir les voitures toutes petites.
Ca s’est passé très vite. J’ai bien aimé le décrochage. C’est bien de monter en
tirant sur le manche.
Romain :
C’est grand vu d’en haut. J’ai vu Civray. On est quasiment
monté au dessus des nuages. Ce qui est sûr, c’est que j’en referai.
Marie :
C’était bien. On voyait les maisons toutes petites, c’était
« super beau ». Ca fait mal aux oreilles quand on monte et que l’on
descend. On a vu notre maison, on a fait un tour jusqu’à St Romain. La première
fois ça fait bizarre, j’aimerais apprendre à piloter.
Margaux :
C’était bien, c’était tout petit de là-haut. Quand on vire,
ça fait peur, ça donne des impressions de déséquilibre. On est allé à St Romain, à St Mâcoux, j’ai
survolé le collège. J’en referai c’est sûr. La nuit, ça doit être beau.
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Dossier suivi par Catherine Hugault.
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